Le développement culturel et touristique

Couvin présente un bon potentiel en termes d’activités touristiques.

La redynamisation du centre-ville devrait être également soutenue par un développement touristique. La commune présente un très large réseau de promenades et de balades et un cadre naturel de grande valeur.

Même si plusieurs infrastructures touristiques et plusieurs types hébergements sont présents, il manque des infrastructures de type hôtel.

Les réflexions de l’atelier consacré au tourisme ont tourné autour de la question : Comment Couvin pourrait se différencier des autres communes voisines à potentiel touristique équivalent ?

  • Reconnaissance par un thème ou par une activité périodique
      • Couvin aurait une animation musicale permanente dans certaines rues le week-end. Pendant l’été, animations musicales le weekend ? théâtre, spectacles de rue, artisans,… Musique des fanfares locales. En lien aussi avec le tourisme.
      • Faire de Couvin une cité de la mosaïque. Il y a un artiste local qui fait de la mosaïque. Il a invité des gens à faire leurs propres pavés pour les insérer dans les trottoirs.
      • Travailler sur l’origine étymologique du mot « couvin » (le couvert et le vin).
      • Il y a beaucoup de trails et de courses dans la région. Faire des courses sur plus longtemps pour inciter les touristes à rester plus longtemps sur la commune.
  • Mettre en valeur l’Eau Noire et l’Eau Blanche
      • Réaliser un couloir vert le long de l’eau noire depuis les Grottes de Neptune (là où il y a la maison de la forêt) jusqu’à la piscine.
      • Le long de ce cheminement on pourrait exposer de l’art urbain.
      • Aménagement du parc Saint Joseph, des allées, de la centrale, le long de la rue de la falaise.
  • Améliorer la communication et mettre en valeur des sites comme :
      • Les Grottes de Neptune
      • Les Grottes d de l’Abime (actuellement fermée)
      • Le Vieux Couvin
      • Les 7 moulins
      • Le chemin de fer des trois vallées est séparé entre deux communes. Il est à Treignes
      • Le patrimoine bâti en général
  • Exploiter le passé industriel de la Ville (Raquettes Donnay, poeles Efel, fonderie, …) au travers d’un Musée de l’Industrie couvinoise dans le centre-ville :

Le développement de l’attractivité commerciale

Il apparait que la situation commerciale se dégrade à Couvin avec une diminution de la diversité et de nombreuses cellules vides. Cependant, l’enquête menée via la plateforme Couvin Demain montre que les Couvinois savent apprécier les commerces encore existants et portent un intérêt pour le commerce de proximité, le centre-ville, les boutiques d’indépendants, etc.

Lors de l’atelier « Cadre bâti », l’ensemble des participants ont manifesté leur volonté de conserver les commerces du centre et de  « revaloriser le bâti sous forme de commerce ou HORECA pour assurer une continuité de l’axe principal ».

Il existe un potentiel de redynamisation pour le centre-ville. L’intérêt est grand pour les produits locaux. Cette question a d’ailleurs été détaillée lors de l’atelier citoyen économie-tourisme-culture. Les incitants à fréquenter davantage le commerce de centre-ville et les éléments qui peuvent être mis en place pour favoriser l’installation de nouveaux commerçants ont également été discutés durant cet atelier.

  • Mise en valeur et développement du commerce autour des produits / de l’artisanat local
  • Espaces dédiés :
      • Projet des halles, futur centre de produits locaux, artisanat. Le cahier des charges va bientôt être lancé pour la réalisation des travaux ;
      • Valoriser plus le marché local dans l’ancien Couvin ;
      • Création d’une coopérative de producteurs et d’artisans ;
  • Communication :
      • Connexion avec le parc naturel (qui fait aussi une promotion) ;
      • Listing à jour des producteurs et artisans de la commune ;
      • Promouvoir les produits locaux via tous les modes de communication pour donner la possibilité aux producteurs et artisans de se faire connaitre ;
      • Campagne de sensibilisation du citoyen de l’importance de consommer local ;
      • Mettre à disposition des producteurs et artisans un lieu permanent pour mettre en évidence leurs produits. Par exemple les Halles ou une vitrine.
  • Incitants et primes
      • Incitants, aides, primes, pour favoriser la vente de produits locaux
  • Comment encourager l’implantation de nouveaux commerces ?
  • Espace public et parkings
      • Parking : plus de rotation des places de parking ;
      • Aménagement urbain ;
      • Accessibilité problématique via les transports en commun par exemple ;
      • Accessibilité pistes cyclables, parkings vélos ;
      • Parking voiture ;
      • Parking pour commerçants pour que les places devant les commerces soient vides ;
      • Amélioration de l’espace public (propreté, espaces fleuris, éducation à la propreté ;
      • Ne pas oublier le parking pour les motos, les campings cars,… ;
      • Faciliter la mobilité et la sécurité des piétons ;
      • Travailler sur les horaires d’ouverture. Le centre-ville est mort le lundi ;
      • La régie immobilière peut faire le lien entre un commerçant potentiel et un propriétaire ;
      • Question des loyers : tant que le commerce n’est pas florissant il faut des loyers corrects sinon les commerçants ne pourraient pas survivre.
  • Communication et présentation :
      • Mise en réseau, promotion, communication ;
      • Signalétique physique en rue et sur internet ;
      • Animations, actions commerçants pour attirer des chalands dans le centre-ville ;
      • Mise en valeur des bâtiments dans lesquels les commerces s’implantent. Ne pas détruire le cachet patrimonial du bâtiment ;
      • Mise en valeur de la vitrine, du commerce ;
      • Décoration des cellules vides.

L’aménagement des espaces publics comme espace d’accompagnement

Le Collège communal a donc pris la décision d’orienter l’étude du PV et du PCM vers un scénario volontariste, à savoir augmenter la population du centre-ville, pour soutenir le développement économique, touristique et commercial, afin de « réanimer » le cœur historique de la commune. Cette « réactivation » devrait se faire aussi via un aménagement de l’espace public, à rendre aux habitants, via une sécurisation de l’espace et la création d’un lieu de vie où « on doit avoir envie de se promener et faire du shopping ». Ce type de développement aura des bénéfices aussi du point de vue touristique et économique.

Plusieurs sites sont identifiés :

LA PLACE GENERALE PIRON ENJEUX
·       Endroit central mal exploité
·       Absence de végétal
·       Dysfonctionnement de la fontaine
·       Très peu de mobilier urbain
·       Ressemble plus à un parking
·       Pas d’harmonie avec les terrasses
RÉFLEXIONS LORS DES ATELIERS
Remarque préliminaire : l’ensemble des personnes ayant participé à l’atelier « Cadre bâti » s’accordent sur le fait que cet espace doit être dédié en majorité aux citoyens et aux piétons. Des marronniers ceinturaient auparavant cette place dénommée Place Verte. Dès lors, l’idée principale consiste à redonner de la place au végétal et à réaménager la fontaine (c.f. Treignes ou Cerfontaine), surtout les jets d’eau.

Plusieurs idées ont été débattues, nous les présentons ci-après comme pistes de réflexions :

  • Diminuer le nombre de places de parking mais en maintenir ! (*Attention à garder des places de stationnement pour le jour du marché)
  • Faire ½ stationnement ½ espace piéton
  • Un parking sous-terrain ?
  • Lien à faire avec le parking Walkens (signalétique, incitation,…)
  • Sensibiliser le personnel des écoles, commerces et administrations à ne pas se garer en face de leur établissement pour laisser du stationnement libre pour les clients et touristes
  • Mettre en zone bleue le stationnement sur et autour de la Place
  • Ajouter du mobilier urbain (bancs, tables)
  • Créer un espace pour les jeunes et enfants
  • Faire en sorte qu’il y ait une harmonie entre les terrasses et la place
  • Créer une liaison entre la place et les allées
  • Faire vivre la culture sur la place comme par exemple : remettre un kiosk musique (société locale potentielle = Stabilame à Mariembourg),  installer des sculptures….
LA FERME WAELKENS ET SON PARKING  ENJEUX
  • Peu visible (signalétique)
  • Parking non aménagé
RÉFLEXIONS LORS DES ATELIERS
Remarque préliminaire : l’ensemble des personnes ayant participé aux ateliers s’accordent pour dire que cet endroit doit être mieux aménagé pour le stationnement.

Plusieurs idées ont été débattues, nous les présentons ci-après comme pistes de réflexions :

  • La ferme n’est quasiment plus utilisée (la Poste occupe seulement une partie du rez-de-chaussée) – idées proposées : fonction culturelle, musée de l’industrie, marché couvert, activité touristique.
  • Organiser et sécuriser le parking
  • Aménager l’accès au parking pour les piétons
  • Veiller à la propreté de la plaine de jeux ou la délocaliser ? (la majorité des participants estiment qu’elle ne sert à rien, à l’exception de 2 personnes)
  • Une partie du parking pour des mobil homes (avis très mitigé)
LES ABORDS DE L’EAU NOIRE ENJEUX
·         Sous-exploitation de l’Eau Noire
·         Rendre plus visible par une signalétique
·         Valoriser les allées (bancs, terrasses,…)
·         Réaménager la rue de la Falaise (diminuer la place de la voiture, élargir les trottoirs, installer des bancs,…)
·         Manque d’accès ou de proximité avec l’eau
·         Les établissements HoReCa (Brasserie Jeanne,  « La Ruche »,…) ne mettent pas en valeur leur accès direct (visuel) à l’eau
RÉFLEXIONS LORS DES ATELIERS
Remarque préliminaire : l’ensemble des personnes ayant participé aux ateliers s’accordent pour dire que les abords de l’Eau Noire doivent être mis en valeur comme trame verte et bleu, et qu’il s’agit de renforcer son rôle de promenade à valeur culturelle, historique et environnementale.

Plusieurs idées ont été débattues, nous les présentons ci-après comme pistes de réflexions :

  • Promenade/ballade thématique culturelle (sur les anciens et nouveaux bâtiments)
  • Panneaux didactiques
  • Aménager les berges
  • Faire des fresques murales sur les pignons aveugles des bâtiments/maisons
  • Développer l’exploitation d’HoReCa
  • Discontinuités (entre les allées et le pont de fer par ex.)
  • En été il n’y a pas d’eau… faire un barrage ?
  • Réaliser un cheminement depuis la future Maison de la Forêt jusqu’à la Plaine des Sports (avant = Grotte de Neptune)
LE VIEUX COUVIN ENJEUX ET PISTES DE REFLEXION
  • Place de l’église = un parking
  • Manque de mise en valeur du patrimoine
  • Repenser les panneaux didactiques
  • Lutter contre la disparition progressive des commerces de proximité
LE PARC SAINT JOSEPH ENJEUX ET PISTES DE REFLEXION
  • Repenser l’aménagement du parc en permettant davantage d’usages (pas uniquement la promenade)
  • Améliorer la signalétique/indication du parc
  • Valoriser les Fonderies par des œuvres d’art ou des animations
LE QUARTIER DE LA GARE ENJEUX ET PISTES DE REFLEXION
  • Circulation trop importante
  • Vitesse excessive
  • Dysfonctionnement du carrefour devant la gare
  • Renforcer l’effet de « porte d’entrée » du village de Couvin

 

L’ENTREE CHARLEMAGNE ENJEUX ET PISTES DE REFLEXION
  • Réorganiser l’esplanade
  • Imaginer une nouvelle affectation du bâtiment destiné aux voyageurs
  • Réorganisation du carrefour
  • Manque d’aménagement pour une connexion « mode doux » avec le centre de Couvin

 

Le premier rapport qu’a le visiteur avec la ville, c’est son entrée par la N5, il est important de redonner une image positive aux portes de la ville afin d’offrir une image d’accueil et de bienvenue.

L’actuel tronçon N5 de la route de Charlemagne ne renvoie pas cette image. C’est la raison pour laquelle il faut réfléchir de faire de cette route un véritable boulevard urbain.

Ce boulevard urbain est bien plus qu’une voirie, il s’agit de l’axe de redéploiement de Couvin. Son aménagement permet d’apporter de la cohérence, d’améliorer la mobilité et notamment la mobilité douce ainsi que la communication entre les quartiers afin de redynamiser le tissu économique urbain.
Ce boulevard urbain doit donner la satisfaction de circuler sur un axe délesté de la circulation de transit. Cette fluidité de circulation aura deux impacts positifs : des gains de productivité pour l’économie régionale (raccourcissement des trajets professionnels) et une attractivité accrue pour séduire investisseurs et entreprises étudiant une implantation sur Couvin. De plus, par sa proximité avec la frontière française et le contournement, Couvin sera complètement désenclavé et idéalement situé sur un axe européen majeur reliant Rotterdam à Marseille.
L’aménagement de cette entrée de ville sera utilement enrichi de quelques autres aménagements urbains sur certaines voiries en centre-ville afin d’y améliorer la mobilité douce et permettre la mise en place d’un circuit traversant la ville.

Le développement du logement pour attirer des nouvelles populations vers le centre-ville

En ce qui concerne le logement, on a pu constater, sur base de l’analyse des différents permis d’urbanisation octroyés, que les nouveaux habitants bâtissent dans les villages et que le centre-ville n’évolue pas sensiblement du point de vue immobilier.

Les prix de l’immobilier sont encore très attractifs. Par ailleurs, la présence de la gare et d’un centre-ville à caractère commercial pourront soutenir un éventuel développement démographique.

Le territoire communal dispose encore de nombreuses réserves foncières (dont 483 ha en zone d’habitat à caractère rural dans les villages, et 43 ha en zone d’habitat dans le centre de Couvin – le périmètre du Projet de Ville). Certaines d’entre elles sont touchées par des contraintes physiques mais la grande majorité est apte à recevoir des constructions. Le Plan de Secteur renseigne aussi 15 Zones d’Aménagement Communal Concerté, dont seulement une située à Couvin est bâtie.

Les 14 autres zones sont libres d’occupation et représentent dès lors des possibilités d’agrandissement de la zone urbanisable (3 sont situées à Couvin-centre).

La Ville de Couvin ne dispose pas d’un Schéma de Développement Communal. Aucune réflexion concernant la mise en œuvre de ces ZACC ou des autres réserves foncières n’a dès lors été menée à ce jour.

Selon l’analyse du périmètre du Projet de Ville, il semble évident que le développement du centre de Couvin doit se faire en tenant compte des différentes composantes de l’aménagement du territoire (mobilité, espace public, logement, économie et tourisme).

La priorité sera donc donnée à la réhabilitation des bâtiments à l’abandon, et aux mesures d’incitation pour occuper les cellules commerciales vides et aux aménagements des espaces publics qui accompagnent le promeneur. Par ailleurs, étant donné que la volonté communale est d’attirer de nouveaux habitants, il semble évident qu’une augmentation du nombre de logements devra avoir lieu également via de nouveaux ensembles ou quartiers. Plusieurs sites (de grands terrains à bâtir ou des ZACC) constituent de belles opportunités. Etant donné sa localisation et l’absence de contraintes physiques, la ZACC 4 semble être la plus propice à mettre en œuvre à long terme, après la réhabilitation du parc bâti actuel. .

 

De nombreux sites en mutation, représentent des opportunités de mise en valeur du centre-ville

En effet, la commune peut appuyer son développement futur (post-contournement) sur de nombreux sites potentiels de développement, la mise en valeur de son patrimoine monumental et industriel ainsi que sur la rénovation du bâti et de l’espace public.

Le pôle constitué par la gare de Couvin pourra jouer un rôle structurant pour le développement de centre-ville de Couvin.

Il s’agit d’un pôle important pour la ville. Dans la partie nord de la gare se développent des commerces de grande taille. Un projet de développement d’un centre commercial est également sur la table, et la ville se développe vers le sud,  avec notamment des commerces, des logements, et des écoles.

Actuellement, il y a de nombreuses opportunités de développement à court-moyen terme aux abords de la gare, à savoir:

  • L’Usine Saint Roch, témoin d’un passé industriel situé en entrée de ville et prenant une place imposante ;
  • Une partie des bâtiments des écoles Jean Rey risquent de devenir inoccupés suite au projet de la communauté française de déménager les écoles vers le site situé Rue Adolphe Gouttier et rue de la Consolation. Dans ce cas, une reconversion devra être envisagée ;
  • La ZACC 2 est en cours d’aménagement, mais pas encore finalisée ;
  • Le bâtiment de l’Institut Petit Forêt, même s’est situé sur les hauteurs, un peu plus loin du centre-ville, a marqué le paysage de la Ville pendant de nombreuses années. Il semble donc évident qu’une reconversion voire une réhabilitation suite à une démolition du bâtiment devra être envisagée ;
  • Au long de la N5 et vu le nombre de commerces vides et de bâtiments en mauvais état, il semble opportun que la priorité soit donnée à la réhabilitation des bâtiments à l’abandon, aux mesures d’incitation pour occuper les cellules commerciales vides et aux aménagements des espaces publics qui accompagnent le promeneur ;
  • Plusieurs opportunités aménagement aux alentours de la Gare SNCB, de la gare TEC et du P+R (voir dossier PCM) existent ;
  • Quant au projet d’un centre commercial, la question de la complémentarité avec le commerce au centre-ville et de la gestion des flux se pose (voir dossier PCM) ;
  • L’administration communale, située en face de gare pourrait être mieux mise en valeur dans un bâtiment plus fonctionnel (pas de site prioritaire à cette date) ;
  • Le bâtiment de l’ancienne caserne des pompiers (en face de l’administration communale) pourrait accueillir le service travaux de la commune.

On peut conclure que l’espace situé dans un rayon de 500m autour de la gare recèle des d’opportunités pour développer le centre-ville. Il conviendra de proposer une stratégie pour ces terrains idéalement situés.

L’ESPACE BÂTI SAINT ROCH

RÉFLEXIONS LORS DE ATELIER CADRE BÂTI

Remarques préliminaires :

Les discussions lors des ateliers étaient centrées autour de la problématique de ce bâtiment industriel, situé en entrée de ville. 

Plusieurs idées ont été débattues, nous les présentons ci-après comme pistes de réflexions.

La réhabilitation du site aura comme rôle de valoriser l’entrée de Couvin.

  • Logement
  • Hôtel
  • Déménagement de l’administration communale
  • A valoriser comme lieu pour une Maison du Tourisme, un espace info car il est situé à l’entrée de Couvin + mini-musée.

L’INTERNAT PETIT FORÊT

RÉFLEXIONS LORS DE ATELIER CADRE BÂTI

Remarque préliminaire : l’ensemble des participants à l’atelier « Cadre bâti » s’accordent au sujet du démolir “sans tristesse”. Il faut “réaménager le site, pas le bâtiment”.

Plusieurs idées ont été débattues, nous les présentons ci-après comme pistes de réflexions :

Créer un espace de loisirs pour jeunes

  • Création de loisirs pour les jeunes
  • Classes vertes

En faire du logement

  • En faire du logement pour les jeunes familles
  • De l’habitat groupé intergénérationnel
  • Créer un lotissement « éco bâti » avec une diversité d’activités … un espace jeux …

Hôtel

  • Il manque un hôtel à Couvin, mais des projets de petits hôtels existent.

Centre médical

  • Ce type de bâtiment demande des normes strictes, donc sera probablement difficile à réaffecter

Une réhabilitation multiple

  • Créer un nouveau complexe d’appartements + bureaux + services

Centre de Congrès

  • Il manque un centre de congrès à Couvin. Y ajouter un hôtel, une brasserie, y développer des Start Up, …

REHABILITATION DES BATIMENTS VIDES

RÉFLEXIONS LORS DE ATELIER CADRE BÂTI

La réhabilitation des cellules vides devrait passer par 3 types d’action, à réaliser de manière simultanée :

  • encourager la réhabilitation du bâti
  • mener des actions et prendre des mesures pour encourager les commerçants à venir s’installer
  • travailler l’espace public comme élément d’accompagnement

Encourager la réhabilitation du bâti

  • Taxer les immeubles vides
  • Taxer les logements vides au-dessus des commerces
  • Accorder des primes à la réhabilitation

Actions et mesures pour encourager l’installation des commerçants :

  • Créer une Régie Foncière qui adapte les prix au chiffre d’affaires (loyers trop chers pour les commerçants)
  • Encourager les baux à courte durée, l’occupation partielle
  • Travailler sur la taxation et les primes
  • Limiter la taxation et les enseignes
  • Conseiller le type de produits de ces commerces
    • Des produits du terroir
    • Petits commerces ou artisanat et alternatif
  • Dynamisation systémique – lier la redynamisation des commerces aux autres activités: restaurants, cafés, cinémas, librairie de proximité … pour créer de la vie en soirée.

Aménager l’espace public

  • Pour redynamiser les commerces, il faut redynamiser les espaces publics
  • Elargir les trottoirs et retirer les poteaux d’éclairage mal placés
  • Rendre les rues des commerces plus agréables. Ex : replanter des arbres, verduriser.
  • Diminuer la largeur des voiries

Parking sous-terrain Place Verte + maximum de rues piétonnes

Pour la mobilité scolaire

– Les écoles de Couvin sont plus ou moins bien aménagées. De nombreux efforts ont été fait notamment au niveau des trottoirs et zone 30. Le plus gros des efforts restent à faire au niveau de la dépose scolaire et des liens piétons vers les arrêts TEC.
– Protéger les écoles et les quartiers contre le trafic de transit, les vitesses excessives, les nuisances de la voiture

Pour le stationnement

– Offrir une capacité de stationnement adéquate, bien située, et exploitée de manière à faciliter le report du stationnement vers des parkings judicieusement placés mais qui n’empiètent pas sur les espaces publics de qualité ou destiné à participer aux nouvelles dynamiques urbaines dans le cadre du Projet de Ville

  • Prévoir à temps de nouvelles capacités permettant ces reports
  • Organiser la gestion des durées en fonction des objectifs souhaités

Pour les transports en commun

– Faciliter les conditions de circulation des transports en commun. La commune de Couvin est dans l’ensemble bien équipée en ce qui concerne les transports publics notamment avec 2 gares sur son territoire.
– Elle bénéficie d’un réseau de bus TEC assez étendu mais essentiellement calqué sur la desserte scolaire.
– Les arrêts bus sont à moderniser (revêtements hétérogènes, abris abîmés, manque de parkings vélo …);

  • Penser desserte fine du territoire notamment via les services que la commune pourrait mutualiser
  • Assurer des bandes bus selon les besoins et les opportunités notamment en sortie de gare de Couvin
  • Améliorer la qualité d’accueil et d’intermodalité des arrêts de bus (parcage vélo, quais accessibles PMR, abris, signalétique)
  • Voir si certaines correspondances peuvent être améliorées
  • Réfléchir aux modalités d’attente aux gares de Couvin et Mariembourg

Pour les modes doux

– Développer la qualité des cheminements et espaces de séjours piétons, pour valoriser le cadre urbain et rural et convivial propice à la mobilité douce (présence de sentiers, aménagements cyclables, initiatives en faveur du vélo …) et résoudre de nombreux « dysfonctionnements » tant pour les piétons, les PMR

  • Rues et places piétonnes, aménagements PMR
  • Traversées sécurisées
  • Passerelles sur l’Eau Noire, passages, chemins et sentiers

– Développer un vrai réseau cyclable et attaquer de front les difficultés rencontrées au quotidien par les cyclistes (absences de réseau au quotidien, obstacles, revêtement abîmé, manque de connectivité entre les villages …)

    • Articuler celui-ci sur les grands itinéraires potentiels, notamment le RAVeL
    • Assurer l’interconnexion des aménagements cyclables futurs
    • Faciliter les liaisons directes en ouvrant les SUL partout où c’est possible
    • Assurer la sécurité dans les aires à circulation mixte, au moyen des outils zone 30, zone résidentielle et de rencontre, les marquages,…notamment dans les cœurs de village et autour des écoles
      • Assurer des infrastructures de stationnement aux pôles importants
      • Effectuer une promotion du vélo et du vélo électrique
      • Cela en lien avec MOBILESEM et les actions déjà mises en œuvre.